Le nouveau premier ministre grec TN
Pas Cher Alexis Tsipras a assuré mercredi 4 février que la Grèce n'était pas "une menace pour l'Europe" et s'est dit optimiste sur la possibilité de trouver un compromis sur le remboursement de la dette grecque, lors d'une déclaration conjointe avec François Hollande à l'Elysée.
"Nous ne sommes pas une menace pour l'Europe", a souligné le chef du gouvernement grec, soulignant qu'Athènes avait "surtout besoin de la France qui doit jouer un rôle prépondérant, de garant" de la croissance de l'économie européenne. "La France fait preuve d'une stabilité qui doit permettre un changement de politique nécessaire au tournant décidé vers la croissance."
Alors que François Hollande a estimé que "le respect des règles européennes et des engagements pris s'impose à tous, y compris à la Grèce" tout en assurant que "le dialogue entre la Grèce et ses partenaires européen doit se dérouler, en vue de trouver un accord", Alexis Tsipras a déclaré qu'un compromis devait être trouvé pour "permettre de donner un peu de temps et un peu de souffle au pays afin d'entamer ses réformes [...] et Sac a main revenir à un peu de justice sociale".
Le premier ministre grec a aussi jugé qu'il fallait "arrêter cette crise qui s'auto-alimente" par un travail "en commun pour surmonter la crise en Grèce et aider également l'Europe à surmonter la crise". "L'Europe est notre maison commune" si la Grèce doit "respecter la règle de la cohabitation, [...] tous les pays doivent aussi travailler sur un pied d'égalité" à un "avenir européen commun".
Tsipras se dit "optimiste"
Plus tôt dans la journée, Alexis Tsipras est passé par Bruxelles pour proposer un plan de réformes et de financement sur quatre ans et a frappé à la porte de la BCE pour tenter de "garder la tête hors de l'eau", Nike
Requin affichant son "optimisme" sur la possibilité de trouver un compromis.
Le plan de réformes comprend un programme "radical" en matière de lutte contre la...
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