CINÉMA - En Iran, son pays natal, Air
Max 90 Golshifteh Farahani est considérée comme une rebelle depuis qu'elle est apparue sans voile dans le film "Mensonges d'Etat" de Ridley Scott avec Léonardo Di Caprio. Suite à la sortie du film en 2008, la comédienne s'est vue confisquer son passeport et a fini par s'exiler. Elle vit depuis quatre ans à Paris et pose aujourd'hui entièrement nue et "libre" en couverture de la revue Egoïste.
Cette star du cinéma iranien (et la première à franchir les portes d'Hollywood depuis la révolution islamique de 1979) a accepté de poser pour le photographe de mode Paolo Reversi et la revue en noir et blanc Egoïste. Une façon pour Golshifteh Farahani , tn pas cher vue en décembre dans le film Exodus, de se "libérer" et de revendiquer sa liberté d'expression.
"Paris est le seul endroit de la planète où les femmes ne se sentent pas coupables, confie l'actrice dans les pages du magazine. En Orient, tu l’es tout le temps. Dès l’instant où tu ressens tes premières pulsions sexuelles. La France m'a libérée."
Cette couverture, réalisée avant l'attentat de Charlie Hebdo, risque de faire parler d'elle en Iran. En 2012, Golshifteh Farahani avait déjà dévoilé un sein pour un clip tourné avec les autres acteurs nommés dans la catégorie révélations aux Césars. Son comportement avait été jugé "déplorable" et symbole de "la face cachée et dégoûtant du cinéma" Nike
TN par les autorités de la République islamique.
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