Le nombre d’établissements qui Air Max propose des programmes de soutien aux étudiants alcooliques ou toxicomanes a plus que triplé en deux ans.
Aux États-Unis comme ailleurs, les soirées étudiantes sont connues pour la consommation d’alcool parfois excessive de leurs participants. Les étudiants, parfois perdus au milieu d’un campus ou d’un amphithéâtre bondé, s’y rendent souvent pour, désinhibés par quelques verres, y faire des rencontres amicales ou amoureuses. Mais pour les jeunes souffrant d’alcoolisme, ces instants de socialisation représentent une tentation dangereuse qui mettrait en péril leur sevrage. Pour venir en aide à ces derniers, de nombreuses universités américaines développent des programmes de soutien spécifique aux étudiants souffrant d’addiction, comme le rapporte Slate.fr .
Aux États-Unis, sur un total proche de 4 500 universités et «Colleges», 135 ont désormais de tels programmes de soutien. Tn Pas Cher Ils n’étaient que 35 il y a deux ans, et 10 une dizaine d’année auparavant, comme l’explique le site de la radio américaine NPR .Ces centres permettent aux étudiants en phase de désintoxication de rencontrer d’autres étudiants sans avoir à se mêler aux soirée fortement alcoolisées qui rythment les semaines étudiantes, un peu selon le principe des réunions des Alcooliques Anonymes.
La majorité des centres sont gérés par des étudiants ou d’anciens étudiants, eux-même concernés par des problèmes d’addiction. Le New York Times décrit le «programme de rétablissement collégial» de l’université du Michigan, qui regroupe une trentaine d’étudiants, tous en licence à l’exception de deux d’entre eux, qui chapeautent le centre. Hannah Miller a 27 ans et se déclare sobre depuis «le 5 octobre 2010». Nike Tn Ses problèmes d’alcoolisme remontent au lycée et elle est inscrite au.
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